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Moi
01 dimanche Avr 2018
Archives de Tag: verge
Avoir les choses en main suite
04 dimanche Mai 2014
Posted in Du Q !
Petit texte que j’ai dégoté dans un magazine Union des années 80 et mit à ma sauce. Je l’avais publié en 2005 sur un autre site
Ma bouche caresse ton pénis comme je le ferais d’une bouche ou d’un mamelon. Ma langue commence par des petites léchettes sur le dôme du gland, peu sensible puis je la glisse vers les zones explosives : la couronne dont je fais le tour à petits coups de pointe taquine, d’autres tours, un autre la langue bien collé m’arrêtant sur le frein et titillant à nouveau.
Je te sens trembler.
Je me lance alors dans un léchage plus gourmand sur l’ensemble du gland, comme une chatte léchant son pelage. J’étends ma gourmandise au fourreau, le léchant sur toute les faces, me consacrant sur la face intérieur, plus sensible. Je le gâte de longs léchages, allant du gland à la base et vice versa. Abandonnant ces larges accords, ma langue, de sa pointe, joue note par note, tâtonnant comme un compositeur, le long d’une ligne allant du frein au scrotum. Ma composition semble sonner juste. La note la plus haute sur le clavier semble te convenir.
Mes lèvres entrent alors dans la danse. Fermés, mais humides, elles déposent un petit bécot malicieux sur le sommet de ton gland, puis un autre plus fervent. Je déplace ensuite mes lèvres sur le sommet du gland, comme je le ferais d’un bâton de rouge à lèvre, à la différence que se sont mes lèvres qui bougent.
Mes lèvres font franchir, au gland, leur ourlet pulpeux et ensalivé et le mettent au contact de mon palais. Ton gland étant alors pris entre mes deux lèvres, je m’amuse à le serrer par petits pincements successif. Je déplace ma tête de droite à gauche et réciproquement avant de la déplacer d’avant en arrière et réciproquement. Mes lèvres font glisser le gland dans leur gaine charnue, le suçant comme un bâton de guimauve.
Boulimique, enfin, ma bouche s’empare du gland et de la verge, les engloutit plus au moins profondément et même jusqu’au gosier, les fait coulisser dans un va-et-vient rythmique entre langue et palais, les suce, les tète. Ma langue tourne autour de ton gland incarcéré, le lèche, le triture. De temps à autre, j’aspire l’ensemble tel un aspirateur, le plus loin possible dans ma gorge.
Les dents s’esquivent au cours des mouvements pour ne pas endolorire tes muqueuse, mais dans les phases de repos, elles la mordillent avec une infinie délicatesse comme si il s’agissait d’une bulle de savon.
Je recrache à l’air libre ta verge luisante de salive et entreprend de descendre sur le fourreau le long de la colonne pénienne. En chemin, ma bouche le gratifie, sur toute la surface, de larges baisers bruyants et de petits bécots. Ma bouche se concentre, ensuite, sur la face inférieur, la plus luxuriante. Mes deux lèvres, fermées mais mouillées l’effleurent du frein jusqu’au scrotum en un mouvement continu. Je dépose par intermittence de petit baisers le temps de ré humidifier mes lèvres.
J’ouvre ensuite mes lèvres s’entrouvrent et glissent du gland au bourse réciproquement, répandant sa salive. Ici et là, mes lèvres modulent un pinçon, ma langue délivre un suçon et mes dents improvisent un raie ment.
C’est une somptueuse composition de flûte traversière, lente et troublante comme un adagio.
Je prend à nouveau l’ensemble en bouche les fait coulisser dans un va-et-vient rythmique entre langue et palais, les suce, les tète. J’aspire bruyamment l’ensemble.
Je prends tes bourses dans ma main, les baise, les cajole, les lèche, les chérit, leur chuchote des compliments.
Je sens ton corps tressaillir.
Je recommence mon travaille de sucions t’aspirant encore plus loin au fond de ma gorge. Je sens ton corps se raidir. Je sens que c’est proche. Je me prépare.
Tu râles une première fois, au premier jet de sperme sur mon visage. Je sens le flot bouillonnant sous ma main le long de ta verge. Je t’engloutis une dernière fois et bois la semence que tu me délivres en un long râle de plaisir. Je te bois jusqu’au bout.
Je nettoie alors ton pénis comme une chatte ronronnante de bonheur et t’embrasse enfin.
Tu me berces de flot de remerciement.
Avoir les choses en main
27 dimanche Avr 2014
